Ne te soucie pas trop des maux
Qui s'érigent comme des vilaines peaux
La maladie te laissera vivre
Tu ne te scléroseras jamais
La vie est mieux que le harnais
Le temps des grives et des ivres livre
Ne te délie pas de la joie
Elle approchera comme une discrète
Qui s'étonne que l'heure de la crête
Concorde avec l'ère de la foi
Sois le roi de vie qui s'ébat
Toi le peul chant ment au comptoir
Mieux vaut pour boire quelques déboires
Qui vous livrent le fer aux débats.
Les bonnes intuitions du nihilisme
Il y a 6 ans
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