mercredi 11 avril 2007

Vie

Loin de la vie, toi qui t'affliges
N'oublie jamais que toute tige
Est surmontée en fin d'une fleur
Tant toute la vie a son odeur.

N'abdique jamais, jamais ne plie
Le lâche seul ploie et sans relâche
Il oublie que de toutes les tâches
La plus belle est la moins finie

Oublie, dis, luis, ris.

Avance sans le sens
Vacance d'espérance
Honore l'infini.

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