L'alcool colle à tes pores d'attache en terre dansée
Le collant de la craie ébaudit l'ivre excès
Si svelte est la savane sans son signe sidéré
Cancre, gris, cramoisi sont les pierres de l'accès
J'en viens à janvier aigre le mois des moissons d'or
Jade et rubis rois sont les stèles de nos antres laids
Engoncé dans l'estoc tu portais le baudet
La bêtise est ton âme, l'âne ton animal mort
Tu gémis sous tes tics, tu guignes le hareng saure
Sors de cet esprit vide, jette un sort à l'encre aigre.