Pars si tu ignores tant qu'il plut
Il pleut au coeur et rien n'est plus
La lueur des estampes estompe
Trompe trop de trempe les âmes se rompent
Moi je n'ai pas de temps à mordre
Avec les fumées des menteurs
L'heure n'est pas aux havres des hâbleurs
Il faut un socle un tertre à tordre
Tu as cru que tu dégagerais le boiteux
C'est toi pourtant que tu as dégagé en touche
Toi le minable et le vil rat des bourgs bileux
Il serait temps que tu te couches comme un cabot
N'en rajoute pas quand tu souris tu louches en bouche
Tu baves et tu attends ta fauve fin de nabot
Les bonnes intuitions du nihilisme
Il y a 6 ans